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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 17:41

 

 

Amazone blessée, 1904, Van Gogh Museum, Amsterdam

La guerrière est à terre, genou au sol, blessée.

Main droite sur le flanc qui saigne, elle maintient de la gauche, en garde haute, son bouclier. Rouge. Rouge sang. Sang de vie. Vie et mort.

Menace de trépas à droite, ardeur de vivre à gauche, symétrie parfaite symbolisée par le sang, la couleur rouge du bouclier qui éclabousse le centre du tableau.

Sa force de vie est cependant plus forte, elle est brandie en étendard. La menace se limite à des goulettes.

La mort est dérisoire pour la meurtrière, la vie est un cadeau pour la mortelle.

La sanguinaire est une femme qui a saigné en le devenant. Et, lorsqu’elle donne la vie, elle sait qu’elle condamne à subir sa corollaire, la mort.

Au milieu de la bataille, la fille d’Arès vacille mais ne flanche pas. Un instant de répit et elle repartira au combat… qui continue de faire rage en arrière-plan. Mais en aura-t-elle la force ? Va-t-elle s’effondrer sur le cadavre qui git à ses pieds ? Car une plaie ouverte brille entre ses doigts.

 

Amazone blessée (1904) est l’œuvre de Franz von Stuck (1863-1928), peintre allemand mais aussi sculpteur, graveur et architecte.

 

L’artiste, symboliste et expressionniste, propose une version du combat des Amazones contre les Centaures purement imaginaire. Aucun texte antique ne le mentionne. Selon la mythologie grecque, les Amazones auraient affronté Thésée, Hercule et participé à la guerre de Troie, en apportant leur appui à la ville.

Ce tableau met pourtant l’accent sur une posture inédite de la guerrière.

 

Associée habituellement au cheval, la femme-cheval, le pendant féminin du centaure voire la centauresse, aussi sauvage et sanguinaire que lui, est assimilée à la monstruosité de la nature qu’il représente. Deux symétries sexuelles s’affrontent, celle d’une virilité exacerbée (le centaure) contre celle (prétendument ?) usurpée (l’Amazone).

En s’opposant à lui, après l’avoir combattu, elle est à terre.

 

Héroïne martiale par excellence, hormis l’équipement de protection (casque, jambières et bouclier) elle ne tient aucune arme (ni arc, ni lance, ni hache, comme le veut la tradition).

 

De plus, elle est dissociée de son groupe de combat et du cœur de la bataille, et se trouve isolée, derrière la protection de son bouclier. Malgré quelques noms de reines restés dans la légende (Antiope, Thalestris ou Myrina, Penthésilée), les Amazones apparaissent le plus souvent comme une sorte de collectif, un peuple de femmes sauvages, réputé pour son tempérament de feu, identifiable comme une horde d’individus indéfinis.

Presqu’en coulisses,  les belligérants sont des masses sombres à peine esquissées, dont seule la pugnacité au combat est mise en avant, lances contre flèche, traduisant ainsi la brutalité de la scène.

 

En résumé, nous avons une figure féminine blessée par son alter-ego, désarmée et isolée. Mais curieusement, aucun sentiment de faiblesse ne se dégage de l’œuvre. Même blessée, la guerrière reste puissante.

 

Démentant la légende, l’œuvre ne montre aucune mutilation du sein droit, bien que la blessure qu’elle cache puisse y faire référence.

 

Selon Hérodote (historien grec, mort en 420 av. J.-C.), ces archères habiles qu’étaient les Amazones s’amputaient (ou brûlaient) le sein droit pour ne pas être gênées au tir à l’arc, ce qui expliquerait  leur nom (mazos en grec signifie "sein").

Une autre théorie prétend que l’origine de leur nom viendrait du fait qu’elles n’allaitaient pas leurs enfants (les seins pendants les gêneraient durant le combat), nourrissant leurs bébés de lait de jument sauvage.

D’autres encore affirment que le mot amazone n'a rien avoir avec les seins. Il s'agirait d'un mot arménien signifiant "femme de la lune", leur déesse protectrice, Artémis, étant une déesse lunaire.

 

Quelle que soit la raison, le mythe de la femme guerrière, qui aurait tantôt vécu sur les bords de la mer Noire, tantôt en Asie Mineure, voire en Lybie a perduré.

 

C’est durant la conquête de l’Amérique du Sud qu’il va ressurgir, aux dires des premiers explorateurs espagnols. Durant son expédition de 1541, Francisco de Orellana (navigateur et explorateur espagnol), va croiser le fer avec des femmes "qui combattent aussi farouchement que les hommes", lors d’une attaque sur le Río Marañón. Qu’il nomma  " fleuve des Amazones", puis fleuve Amazone.

 

 

 

Fichier:Amazones Thevet.jpg

"Comme les Amazones traitent ceux qu'elles prennent en guerre", André Thevet in Singularités de la France Antarctique, 1557.

 

André Thevet (explorateur et écrivain-géographe français) contemporain de l’Espagnol, ira jusqu’à détailler l’incroyable cruauté dont ces guerrière amazoniennes seraient capables : "Elles font guerre ordinairement contre quelques autres nations, et traitent fort inhumainement ceux qu’elles peuvent prendre en guerre. Pour les faire mourir, elles les pendent par une jambe à quelque haute branche d’un arbre ; pour l’avoir ainsi laissé quelque espace de temps, quand elles y retournent, si le cas forcé n’est trépassé, elles tireront dix milles coups de flèches ; et ne le mangent comme les autres sauvages, ainsi le passent par le feu, tant qu’il est réduit en cendre." (Singularités de la France antarctique, 1557 )

 

Près de quatre siècles plus tard, l’Europe s’achemine lentement mais sûrement vers la Première guerre mondiale.

Avant l’avènement des crises balkaniques et allemandes, les accords signés entre pays (Russie, France et Royaume-Uni), qui par leur effet domino vont déclencher les hostilités, les principales puissances européennes s’étaient lancées, depuis la fin du XIXème siècle, dans la course à la colonisation.

 

Cinquante ans avant la signature de l’Entente cordiale de 1904 (partage de l’Afrique entre l’Angleterre et la France), notre pays s’intéresse à un petit état d’Afrique de l’Ouest, le Royaume du Dahomey, l’actuel Bénin. Un traité d’amitié est signé entre les deux états en 1851.

Dix ans plus tard, Porto Novo est attaqué par les Britanniques. Ce petit royaume, assujetti au Dahomey, demande la protection des Français. Mais le Dahomey rejette ce protectorat. Commence alors la dégradation des relations entre les deux états qui aboutit en 1889, à l’attaque par un régiment dahoméen d’un village sous protectorat français. D’après la rumeur, il semblerait que les soldats français aient hésité avant de tirer ou de charger à la baïonnette. Car face à eux, le féroce bataillon ennemi, armé jusqu’aux dents est… uniquement composé de femmes !  Les Amazones du Dahomey.

 

 

  Une Amazone dahoméenne.

 

Ainsi nommées par les Occidentaux et les historiens, les Amazones du Dahomey constituent un régiment militaire exclusivement féminin. Crée au 17ème siècle, ce corps de chasseurs d'éléphant  à l’origine, devient un groupe de femmes gardes du corps constitué en milice qui participe à des guerres contre des vassaux par la suite. Assauts au cours desquels elles acquièrent une réputation de combattantes sans peur.

Ce groupe de guerrières, appelé Mino ("nos mères" en langue fon) représente au XIXème siècle environ le tiers de l'armée du Dahomey, soit 4 000 à 6 000 femmes. Portant l’uniforme et entraînées, on les équipe de gourdins, de couteaux et de fusils (leur roi ayant troqué des esclaves contre des armes à feu occidentales).

Recrutées parmi les ahosi ("les femmes du roi") à l’adolescence, et sous commandement féminin, leur vie est vouée à l’entraînement physique, intense et quotidien. Vierges, le mariage et la procréation leur sont interdits. Ceux qu’elles capturent finissent décapités.

 

Les Français sont d’autant plus déstabilisés, que ces femmes utilisent des techniques d’affrontement physique, le corps à corps notamment, alors qu’ils instaurent une certaine distance, ou le roulé boulé, leur permettant de s’infiltrer sous la haie de baïonnettes.

Leur compétence militaire est telle qu’il sera nécessaire aux Français de recourir à la Légion étrangère, de se doter de mitrailleuses, d'une cavalerie et d'une infanterie de marine pour vaincre finalement les guerrières à l’issue de plusieurs batailles. Les Légionnaires évoqueront plus tard "l'incroyable courage et audace des Amazones".

 

Restons en Afrique mais remontons un peu plus au nord, vers la Méditerranée.

Eloignons-nous dans le temps. Repartons quelques siècles en arrière. Et remontons aux sources de la légende dans la Lybie de l’Antiquité.

Voici l‘histoire de Myrina, reine des Amazones et fondatrice légendaire du temple d'Artémis à Éphèse, telle que la raconte Callimaque (poète grec, mort vers 240 av. J.-C., dans son Hymne à Artémis :

"Les belliqueuses Amazones t’élevèrent, jadis une statue, sur le rivage d’Éphèse, au pied du tronc d’un hêtre ; Hippô accomplit les rites et les Amazones, reine Oupis, autour de ton image dansèrent d’abord la danse armée, la danse des boucliers, puis développèrent en cercle leur ample chœur ; [...] Autour de cette statue, plus tard, on construisit un vaste sanctuaire ; la lumière du jour jamais n’en éclaira de plus digne des dieux ni de plus opulent […]" (Hymnes IIIà Artémis v. 237-250)

File:KunsthistorischesMuseumAmazonen.jpg

Sarcophage présentant un combat des Grecs et des Amazones, Kunsthistorisches Museum, Vienne, photo Christian Chirita

 

Sur une île du lac Tritonis vivaient des Amazones, alliées de Dionysos.

Leur reine, Myrina, s’empara de la ville de Cerné, aidée de son immense armée.

Après avoir massacré tous les hommes, réduit femmes et enfants à l’esclavage, elle rasa les murs de la ville. A la place, la reine fit construire une nouvelle cité puissamment protégée, afin de contrer les attaques des Gorgones, la tribu voisine. Malgré ces précautions, les Gorgones attaquèrent la ville par surprise et décimèrent l’armée de Myrina.

Parvenue à s’échapper en Egypte, elle rencontra Horus, fils d’Isis et d’Osiris et reconstitua une nouvelle armée. Elle envahit l’Arabie, fonda plusieurs villes, s’empara également de plusieurs îles égéennes, puis fut finalement tuée par un roi de Thrace.

Les Amazones survivantes se réfugièrent en Lybie. Et visiblement y perdurèrent…

Nous allons voir pourquoi.


Laissons l’Antiquité derrière nous.


Un siècle après que Franz von Stuck ait peint Amazone blessée, plongeons dans l’histoire de la Lybie moderne. Celle du Colonel Kadhafi.

Le flamboyant et singulier dirigeant libyen fonde en 1983 une Académie militaire de femmes, dont l’enrôlement serait basé sur le volontariat. Parmi les Gardes jamahiriyennes ("Jamahiriya arabe libyenne" est le nom officiel en abrégé pour la Libye  durant le régime de Kadhafi) issues de cette école, un corps d’élite va se distinguer, qui aura pour tâche la garde rapprochée du Guide de la révolution. Ce sont les Amazones !

Kadhafi et les 40 amazones

 

 Mouammar Kadhafi et ses "amazones" lors d'une visite officielle en Europe. Photo AFP


Ces Haris al-Has ("Gardes privées"), unité de 400 femmes portant uniformes, treillis et kalachnikovs seraient réputées vierges et vouées à la chasteté. On les dit aussi surentrainées aux arts martiaux et au maniement des armes. L’une d’elles aurait d’ailleurs abattu un islamiste qui tentait d'assassiner Kadhafi en 1989, tandis qu’une autre décèdera lors d'un attentat contre le dirigeant, neuf ans plus tard.

Puisque l’escorte accompagne le Guide lors de ses déplacements à l’étranger, les Amazones de Kadhafi deviennent un objet de curiosité internationale.

Seulement, voilà, en 2011 le régime tombe et les langues se délient. Et l’envers du décor est bien différent.

"Forcées à s'enrôler, menacées, elles disent avoir été violées par le «Guide» qui les «partageait» ensuite avec ses fils ou ses officiers. " (Le Figaro du 31/08/2011)

Les différents témoignages racontent les viols répétés, les recrutements de force, les menaces de mesures punitives envers les parents et les enlèvements de ces jeunes filles. Certaines déclareront avoir servi d’esclave sexuelle dès l’âge de 15 ans, d’autres d’avoir été contraintes d’exécuter des insurgés au régime.

L’une d’elles précise même le rôle exact des Amazones. Celles portant la tenue kaki étaient de simples otages sexuels. La véritable garde rapprochée, habillée de bleu, était elle chargée de surveiller les recrues et de passer à tabac celles qui se défendaient contre les violences sexuelles.

La consternation est générale et mondiale. Mais on en reste là car le Guide est mort.

De l’idée cocasse assortie d’un décorum de pacotille, reste un sentiment misérable de gâchis et de vies brisées. Et les Amazones enterrées à jamais !

 

C’était sans compter sur l’ironie de l’Histoire.

 

Jeannine Davis-Kimball, directrice du Centre de Recherches de la Civilisation Nomade Eurasiatique à l'université de Berkeley (Californie), entreprend desfouilles entre la Russie et le Kazakhstan de 1992 à 1995.

Elle y découvre des tombes de femmes guerrières (entre 600 et 200 av. J.-C.), enterrées avec leurs armes et probablement cavalières comme le révèle l'analyse ostéologique. . L'une des tombes, richement garnie d’objets et bijoux féminins, comporte également 100 pointes de flèches.

De plus, elle note que dans tous les musées d'Eurasie qu'elle a visités, se retrouvent les traces de prêtresses, femmes-chamanes, et curieusement, à partir de -4000 environ, guerrières, ce qui n'a pas manqué d'être mis en relation avec le mythe des Amazones.

 

Serait-il erroné d’affirmer que l’amazone ne meurt jamais ?

C’est ce que semble présager un autre tableau de Franz von Stuck, "Amazone et Centaure", réalisé huit ans après "Amazone blessée", où elle apparaît plus combative que jamais. 

Amazone et Centaure, Franz von Stuck, 1912 

 

 

Pour conclure, on disait le style de Franz von Stuck plutôt sculptural que pictural, ce que "Amazone blessée" ne dément pas, depuis la musculature des jambes et du bras levé, jusqu’aux ombres hachurées pour marquer le creux du bouclier.

 

Dès lors, il est  probable que le titre, "Amazone blessée", fasse référence à un célèbre concours de la Grèce antique (vers 440-430 av. J.-C.), réunissant les plus grands sculpteurs classiques.

Il s’agissait, selon Pline (in Histoire Naturelle) de réaliser une statue d’amazone pour le temple d’Artémis à Éphèse, ville dont la fondation est attribuée aux Amazones.

En guise de récompense, le gagnant réaliserait un groupe d’amazones pour orner le temple. Quatre sculpteurs arrivèrent en finale : Phidias, Polyclète, Crésilas et Phradmon. Juges (de la compétition) et partie, ces artistes votèrent pour leur propre œuvre. Et tous donnèrent la seconde place à Polyclète, qui finalement remporta le concours.

Cette composition donna lieu à une série de répliques dont la meilleure copie, signée par le sculpteur Sôsiclès, est conservée au musée du Capitole à Rome.

 

Amazone blessée, anonyme, dans le style de Sosiclès d'après l'original de Polyclète , Musée du Louvre, Paris.

 

Elle présente un bras droit levé, qui brandissait peut-être à l'origine la lance sur laquelle la figure prenait appui. La tête est tournée vers la jambe droite, le bras gauche soulève le pan de drapé qui dévoile la blessure.

Voir les différents types d'amazones : http://perso.univ-lyon2.fr/~mollon/L3-LHA/fich_oeuvre_10/Amazone(Mattei).pdf 

 

 

 

Voici un échantillon de représentations des Amazones et documents sur différentes époques.

 

 

 

Fichier:Amazonomachie 01.JPG

Amazone, fragment de mosaïque de pavement de Daphné (actuelle Turquie), seconde moitié du IVème siècle.

Pour avoir un aperçu général de la mosaïque, descendez la page suivante : http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php?t=71400


Combat de Thésée contre les Amazones, amphore

 

 

Hercules combattant les Amazones, amphore

Pour voir davantage sur l’iconographie antique des Amazones : http://www.cndp.fr/archive-musagora/amazones/fichiers/iconographie.htm

 

Penthésilé, Amazone

Penthésilée, reine des Amazones, tapisserie de la fin du Moyen-Age.

 

Fichier:Deruet - La bataille entre les amazones et les grecs.JPG

La bataille des Amazones contre les Grecs, entre 1603 et 1660, Claude Deruet, peintre français (1588-1660).

 


Bataille des Amazones, 1618, Pierre Paul Rubens, peintre flamand (1577-1640).

 

 

Fichier:La-reine-des-amazones.jpg

La rencontre d'Alexandre avec la reine des Amazones, vers 1660, Pierre Mignard, peintre français (1612-1695).

 

 

La transformation du mythe des Amazones dans l’art et la littérature européens des XVIeet XVIIesiècles, Séminaire d’Art et de Littérature : http://www2.lingue.unibo.it/dese/didactique/travaux/Maramotti/Art%20et%20litt%E9rature.pdf 

Et aussi "Les dernières Amazones : réflexions sur la contestation de l’ordre politique masculin pendant la Fronde" : http://framespa.revues.org/674 

 

 

La bataille des Amazones, vers 1820, Johann Heinrich Wilhelm Tischbein (1751–1829), peintre allemand   

 

Amazone combattant, 1897, Franz von Stuck

 

 

Amazone combattant, 1902, Franz von Stuck

 

 

 

Les Amazones, Roger Viollet

 

Fichier:Amazones-Dahomey.jpg

 

Les amazones guerrières du Dahomey, 1890, d'après une photographie communiquée par le colonel Dinnematin-Dorat.

 

 

 

 

  Carte postale d'Amazones du Dahomey.

 

 

(Traduction : Elles sont toutes vierges et font voeu de chasteté en devenant gardes du corps officielles).

Source et autres images : http://www.gameblog.fr/blogs/deaconfrost1832/p_28529_kadhafi-et-ses-amazones

 

 

Diaporama des Amazones de Kadhafi : http://madame.lefigaro.fr/societe/kadhafi-40-amazones-010411-148065

 

 

 


Vidéo (7’20) du Mouvement matriciel (?), panorama de vestiges, héritage des Amazones (Avertissement : la musique peut être un peu pénible…)

 

Iconographie relative aux fouilles du Dr. Dr. Jeannine Davis-Kimball : http://www.csen.org/WomenWarriors/Statuses_Women_Warriors.html

 

 

File:Amazon preparing for the battle (Queen Antiope or Armed Venus) - Pierre-Eugene-Emile Hebert 1860 - NG of Arts Wash DC rotated and cropped.jpg

 

Amazone se préparant pour la bataille (Reine Antiopé ou Vénus armée), 1860, Pierre-Eugene-Emile Hebert, sculpteur français (1828-1893).

 

Amazone, 1897 Franz von Stuck

 

 

Sources

Au sujet du mythe des Amazones

http://www.aly-abbara.com/histoire/Mythologie/Grece/Hercule/images/Amazone.html

http://bcs.fltr.ucl.ac.be/fe/11/AMAZ/Amazones.htm

http://atil.ovh.org/noosphere/amazones.php

http://www.cndp.fr/archive-musagora/amazones/fichiers/presentation.htm

http://www.elianeviennot.fr/Articles/Viennot-Amazones.pdf

 

 

Au sujet des Amazones du Dahomey

http://www.hirondelledelavenir.com/index.php/amazone?13c2bac9b90f24f8267040c208726c38=3f713a9d68144007e2419ad82287261d

http://fr.wikipedia.org/wiki/Amazones_du_Dahomey

http://reinesheroinesdafrique.doomby.com/pages/recits-des-reines-heroines/les-amazones-du-dahomey-une-armee-de-femmes-au-service-d-un-royaume.html

http://www.cosmovisions.com/ChronoDahomey.htm

http://www.epa-prema.net/abomey/pedago/amazones.htm

 

 

Au sujet des Amazones de Kadhafi

http://www.lefigaro.fr/international/2011/08/31/01003-20110831ARTFIG00470-kadhafi-accuse-de-viol-par-ses-ex-amazones.php

http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/Les-amazones-de-Kadhafi-esclaves-sexuelles-du-tyran-354181/

 

 

Au sujet de la réalité du mythe (résultats des fouilles du Dr. Jeannine Davis-Kimball et autres artefacts)

http://www.womanthouartgod.com/daviskimball.php

http://www.cairn.info/revue-l-homme-2002-3-page-185.htm

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A
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